Beschreibung:

23 S., zahlr. farb. Abb. Originalbroschur, 22*21 cm.

Bemerkung:

Ein tadelloses Exemplar. - Text Deutsch und Französisch. - Aus dem Vorwort: Der Ausstellungstitel 'Innensichten - Außensichten' mag ein echter Ethnologeneinfall gewesen sein, denn das Museum für Völkerkunde lebt ja nicht nur vom 'ethnologischen Blick' auf andere Kulturen, sondern bezieht den Blick zurück auf uns selber ein. Der Titel trifft aber besonders auf Moseka zu, deren Leben sich zwischen der umtriebigen Stadt Kinshasa, wo sie geboren wurde und entscheidende Jahre verbrachte, und der priviligierten Wohnlage Ngafula abspielte, zwischen dem nostalgisch verklärten 'afrikanischen Dorf', Europas kulturellen Metropolen, den Lagerplätzen zairischer Pygmäen, wo sie freundschaftliche Begegnungen erlebte, ihrem beengten Alltag und der Weite der europäischen Kunsttempel. Und nun lebt sie mit ihren vier Kindern in Brüssel, in der Heimat von Thierry Dartois, ihrem Ehemann. Nicht nur die Galerie van Bever und die Kunsttischlerei von Thierry Dartois in Kinshasa sind den neuen Wirren am Kongo zum Opfer gefallen, auch Mosekas Atelier befindet sich nun in ihrem Brüsseler Wohnzimmer. Wieder malt sie mitten zwischen Kindern und Besuchern, sie schafft leichte, treffsichere Zeichnungen, und auf ihrer Visitenkarte findet sich neben der gedruckten Berufsbezeichnung 'Kunstmalerin' der handschriftliche Zusatz 'Bildhauerin". Ein neuer Anfang ? / Du préface: Le titre de l?exposition pourrait constituer une véritable idée ethnologique car le musée Ethnographiqque n?existe pas seulement pour des vues ethnologiques sur d?autres cultures, mais aussi pour la vue rétrospective sur nous-même. Le titre concerne exclusivement Moseka, sa vie qui s?est déroulée dans la ville mouvementée de Kinshasa où elle est née. Elle y a vécu des années décisives avant de s?établir au mont Ngafula, entre la nostalgie du village africain et la culture Métropolitaine d?Europe. Le village des pygmées zaïrois où elle a vécu des rencontres très amicales, fürent ses occupations de vie quotidienne contrastant avec la dimension des temples Européens de la culture. Elle vit maintenant à Bruxelles avec ses quatre enfants, installée au pays de son époux, monsieur Thierry Dartois. Tant la Galerie Privée Louis van Bever que la maison de décoration et d?ébénisterie de monsieur Dartois ont été détruites par les énénements du Zaïre, ainsi que l?atelier de Moseka. Elle peint de nouveau, entre enfants et visiteurs, au milieu de son salon Bruxellois transformé en atelier. Quelques traits légers lui suffisent à créer des dessins très expressifs. Sur sa carte de visite qui reprend sa profession de ?peintre? elle a ajoutée à la main ?sculpteur?. Est-ce un nouveau départ ?