Beschreibung:

Ca. 200 Seiten; zahlr. Illustrationen (auch farbig); 21 cm; kart.

Bemerkung:

Gutes Exemplar; der farb. illustr. Einband stw. leicht berieben. - Mit sehr vielen Illustrationen. - Pierre Bonnard (* 3. Oktober 1867 in Fontenay-aux-Roses bei Paris; ? 23. Januar 1947 in Le Cannet bei Cannes) war ein französischer Maler des Post-Impressionismus. Er ist ein Vertreter des Intimismus und wird ebenfalls zu der Künstlergruppe der Nabis gezählt, welche die Malerei zur Dekoration und zum Kunstgewerbe öffnen wollte. Nach deren Auflösung Anfang des 20. Jahrhunderts fand Bonnard zu einem eigenständigen Malstil, den er bis zu seinem Tod nur wenig variierte und in dem eine intensive Farbwirkung zunehmend wichtiger war als das dargestellte Sujet. ... 1888 gründete er zusammen mit Denis, Sérusier und Vuillard die Künstlergruppe Les Nabis, von der er sich aber bald wieder trennte. Er war gut bekannt mit dem Kunsthändler Ambroise Vollard, von dem er mehrere Porträts schuf. Bonnard stellte im Salon des Indépendants aus und lernte Henri de Toulouse-Lautrec kennen. 1896 hatte er seine erste Ausstellung bei Paul Durand-Ruel. 1905 unternahm er mit Vuillard eine Spanienreise, der in den darauffolgenden Jahren Reisen u. a. nach Belgien, Holland, England, Italien, Algerien, Tunesien und Südfrankreich folgten. 1911 mietete er ein Atelier in dem Pariser Künstlerhaus Les Fusains, das er bis zum Lebensende behielt. 1925 kaufte er sich schließlich ein Haus in Le Cannet. Zu den Hauptmotiven des vom japanischen Holzschnitt faszinierten Bonnard zählten insbesondere Landschaften, Blumengärten, Segelboote und der weibliche Akt. Er war vor allem von den Bildern Paul Gauguins fasziniert und zählt wegen der starken Bedeutung des Lichts in seinen Werken zu den Malern des Post-Impressionismus, obwohl er im Grunde einen eigenen Stil verwirklichte, der in die symbolistische Richtung geht. ? (wiki) // ... Il peint clair d'abord, et simplifie les formes dans un trait qui en accentue le caractere ; on retroul' e ici Gauguin et les Japonais. Puis il assombrit ses teintes, donnant juste quelques taches de lumiere sur lesquelles se decoupent les personnages ; ce sont tous les passants de Paris qu'il retroul' e en hil' er dans le gris de la l' ille et autour de la lampe. Petits tableaux dont la mise en pages el' oque Degas et I'instantane photographique, aux sujets imprel' us, oil il montre beau-coup d'esprit, de tendresse, et ce sens de L' intimite qu'il partage al' ec L' uillard. II l' a peindre ensuite en Ile-de-France et dans la l' allee de la Seine ; la lumiere reapparait dans ses toiles, l' oilee d'abord et comme tamisee. C'est le moment oil les Faul' es jouent de toutes les couleurs. Bientdt arril' ent les Cubistes. Bonnard, on le l' ena dans ses preoccupations noul' elles de composition et notamment dans la disposition rigoureuse de certaines de ses natures mortes, considere longuement leurs tral' aux. Mais il poursuit ses recherches dans la l' oie des Impressionnistes, qu'il a toujours admires, tout en jugeant leur l' ision trop soumise a la nature. Periode de transition, inegale et incertaine, au cours de laquelle il l' oyage en Angleterre, en Belgique et en Hollande. Puis il decoul' re la lumiere du Midi; desormais L' histoire de sa peinture est celle d'une decisil' e progression de la couleur, quelque peu affolee d'abord, retenue ensuite dans L' armature plus solide de la composition et du dessin, exaltee enfin jusqu'a I'incandescence. Alors que les Impressionnistes recomposent les couleurs du reel, Bonnard les transpose, semble oublier le ton des objets, cree un monde noul' eau oil les feuillages, la mer, les champs et les fleurs echangent For, le bleu, le l' ert et L' orange. Les passages de L' ernon, les jar dins du Cannet sont impregnes d'une lumiere irreelle oil brulent toutes les gemmes. ... (Antoine Terrasse)